pensée

Extraits étiquetés avec : pensée

  • Antidote : la peur n’a pas de sens

    Un excellent antidote à la peur est de prendre conscience qu'elle n’a pas de sens. Elle ne veut pas dire que vous allez être blessé, que vous avez commis une erreur ou encore que vous n'êtes pas sur la bonne voie. C'est un fantôme qui vous menace d'un sabre. Elle vous avertit de choses qui ne se produisent pas, éveille des attentes catastrophiques, quand elle ne dissimule pas un danger réel. En fait, elle n'est qu'une sensation qui s'appuie sur de vieilles pensées, idées, croyances et attentes qu'on n'a cessé de vous inculquer. Vous êtes conditionné pour y succomber.

    Couverture de Vivre sans peur
    page(s) 22
  • La peur est un escroc

    La morsure de la peur ressemble à celle du serpent : le venin s'étend en vous, paralyse vos sens et bloque votre faculté de raisonner. Par conséquent, reconnaître la peur et s'en libérer est un exercice à pratiquer quotidiennement. Plus vous le pratiquerez, plus il deviendra facile et moins vous vous sentirez menacé. Une fois votre peur vaincue, vous vous rendrez compte que vous avez de nouveaux les idées claires et que vous savez spontanément quelle conduite adopter. […]

    La peur est un escroc qui se manifeste de toutes sortes de façons : obsession, trouble, perte de la maîtrise de soi, ou dysfonctionnements divers. Elle peut être déclenchée par n'importe quoi – des idées, des croyances, des souvenirs, des goûts, des odeurs, voire des pensées inconscientes.

    Couverture de Vivre sans peur
    page(s) 14
  • Accueillir

    [La] pratique qui consiste à faire bon accueil aux pensées, aux émotions et aux sensations porte le nom d'attention – traduction approximative du tibétain drenpa, « prendre conscience ». Ce dont nous prenons conscience, ce sont tous les processus subtils du corps et de l'esprit qui échappent d'ordinaire à notre attention parce que nous sommes concentrés sur la « grande image », l'aspect dominant de l'expérience qui détourne notre attention en nous submergeant ou en provoquant un désir irrépressible de prendre la fuite. Le fait d'opter pour l'attention réduit peu à peu la grande image en morceaux plus petits, plus gérables, qui apparaissent dans la conscience et en ressortent avec une incroyable rapidité.

    En fait, il est un peu étonnant de découvrir combien l'esprit est intimidé quand on lui propose d'être son ami. Les pensées et les sentiments qui semblaient si puissants et solides s'évanouissent presque aussi vite qu'ils apparaissent comme des bouffées de fumée dispersées par le vent.

    Couverture de Bonheur de la sagesse
    page(s) 30
  • Ralentir le flot et trouver de l’espace

    Quand on commence à pratiquer la méditation, on a toutes sortes de choses qui surgissent dans l'esprit comme les brindilles charriées par le courant impétueux d'une rivière. Ces « brindilles » peuvent être des sensations physiques, des émotions, des souvenirs, des projets, et même des pensées comme celle que l'on ne peut pas méditer. Il n'y [a] donc rien de plus naturel que d'être emporté par ces choses, d'être pris, par exemple, par des questions comme celles-ci : pourquoi ne suis-je pas capable de méditer ? Quel est mon problème ? Tous les autres, dans cette salle, ont l'air de pouvoir suivre les instructions ; pourquoi ai-je, moi, tant de mal ? [Mon père] m'expliqua alors que tout ce qui me traversait l'esprit à un moment donné, c'était exactement sur cela qu'il fallait se concentrer, puisque, de toute façon, c'était là que mon attention se trouvait.

    Ce serait l'acte de faire attention, m'expliqua mon père, qui peu à peu ralentirait ces flots impétueux en me permettant de trouver un peu d'espace entre ce que je regardais et la simple conscience de regarder. La pratique aidant, cet espace s'étirerait. Je cesserais progressivement de m'identifier aux pensées, aux émotions et aux sensations que j'éprouvais pour me reconnaître dans la conscience pure de l'expérience que j'en faisais.

    Couverture de Bonheur de la sagesse
    page(s) 25-26
  • Nos pensées obscurcissent le ciel

    Nos pensées montent au ciel comme des fumées. Elles l'obscurcissent. Je n'ai rien fait aujourd'hui et je n'ai rien pensé. Le ciel est venu manger dans ma main.

    Couverture de L'homme-joie
    page(s) 13-14
  • S’écarter de l’automatisme d’attaque ou de fuite

    Dans l'ensemble, notre vécu est un riche mélange de positif et de négatif. Cependant, les biologistes évolutionnistes ont découvert que nous étions victimes d'un « biais de négativité » qui nous rend particulièrement sensibles au danger et aux menaces afin de ne pas nous faire dévorer par un tigre (c'est du moins ce que nous dit notre système nerveux). Pour assurer notre survie, le cerveau mémorise plus intensément les événements négatifs que les positifs (mieux vaut se rappeler l'endroit où se cache le tigre). C'est pourquoi il est parfois si difficile de faire remonter des souvenirs et des sentiments de joie et de bien-être quand on se sent perdu ou découragé.

    Bien que cette réaction par défaut soit essentielle face à un vrai danger, elle peut aussi entraîner une grande souffrance quand aucun péril ne nous menace. Heureusement, grâce à la méditation, il est possible de remodeler notre système nerveux pour qu'il s'écarte de cet automatisme d’attaque ou de fuite : on apprend à reconnaître ses pensées et ses sentiments pour ce qu'ils sont sans les laisser nous submerger.

    Couverture de Comment s’ouvrir à l’amour véritable
    page(s) 24
  • Une pensée est énergie

    Ainsi ou autrement, se voit alors de façon spectaculaire qu'une pensée, même de découragement, est énergie, est apparition d'une certaine quantité d'énergie, qui prend place, qui prend des places successives, qui fait précipitamment ses formations, rapides, rapides, jusqu'à ce qu'après de multiples rebonds elle s'arrête, à plat, épuisée, sa vie accomplie.

    En toutes ces façons, la pensée montre une frappante et comme électrique discontinuité (au lieu de la continuité et de la liaison qui est le fait et la tendance de la phrase), et qu'à ces moments [1] au moins ce n'est pas pour rien qu'elle est liée à des neurones qui périodiquement se déchargent.

    1. Simultanément toutefois, plate-forme inattendue, détachement inouï, vient alors une conscience d'au-delà, d'un absolument au-delà, dos tourné à tout superficiel ou accidentel. Une conversion à l'ESSENCE s'est opérée, à l'Absolu.

    Couverture de Les grandes épreuves de l’esprit
    page(s) 26-27
  • Les mécanismes bien plus que les idées

    Je voudrais dévoiler le « normal », le méconnu, l'insoupçonné, l'incroyable, l'énorme normal. L'anormal me l'a fait connaître. Ce qui se passe, le nombre prodigieux d'opérations que dans l'heure la plus détendue, le plus ordinaire des hommes accomplit, ne s'en doutant guère, n'y prêtant attention aucune, travail de routine, dont le rendement seul l'intéresse et non ses mécanismes pourtant merveilleux, bien plus que ses idées, à quoi il tient tant, si médiocres souvent, communes, indignes de l'appareil hors ligne qui les découvre et les manie.

    Couverture de Les grandes épreuves de l’esprit
    page(s) 9
  • La pratique de présence attentive (śamatha)

    S'exercer à faire śamatha, terme sanskrit bien traduit par « la pratique de méditation de présence attentive » (mindfulness ; en tibétain : zhi gnas), repose sur un examen de la nature de notre esprit (et, par conséquent, de l'origine des schémas habituels) qui consiste à prêter attention à ce qui apparaît moment après moment. En d'autres termes, il s'agit d'utiliser l'activité de l'esprit pour aller au-delà de l'esprit, en observant l'expérience telle qu'elle se donne avec un regard frais et interrogateur. […]

    La pratique est avant toute chose fondée sur une attitude de non-agir, qui s'incarne dans le fait de s'asseoir dans une attitude digne (sur le sol ou sur une chaise). […]

    Une fois installé dans cette posture de base, on suit l'injonction de suivre « simplement » ce qui se passe sans s'y engager. Étant donné que l'on ne cesse de respirer, la respiration devient un fil conducteur typique, à titre de fil attentionnel. […]

    Quoi qu'il ne soit pas dit par là que l'on arrête purement et simplement de sentir, de penser et d'avoir des émotions, ces activités sont considérées comme à distance, depuis la position d'un observateur détaché, à la manière de nuages sur le fond de premier plan qu'est la respiration qui se poursuit, inspiration dans les poumons, expiration dans les narines.

    Telle est la manifestation condensée de l'aptitude à laquelle s'exercer par la pratique : développer une présence attentive à ce qui survient dans l'instant présent, avec la respiration comme point de focalisation. Étant donné que toutes sortes d'expériences surgissent du sein de cet espace d'attention, nous retournons explicitement notre attention vers « l'intérieur », de l'objet de l'attention vers l'activité consciente (l'acte, le vécu) qui le vise ; nous ne nous mettons pas à examiner son contenu, son surgissement, son émergence complète, puis à nouveau son retrait à l'arrière-plan.

    Étant donné que des pensées qui nous distraient, des émotions ou des sensations corporelles apparaissent sur le fond de l'attention soutenue portée à la respiration, nous sommes à même de prendre conscience de l'importance des fluctuations par rapport au centre de la focalisation. Nous réalisons que nous n'avons pas simplement suivi notre respiration, mais que nous sommes partis, que nous étions ailleurs, suivant sans but une chaîne de pensées, d'imaginations, de rêves éveillés. Aussitôt que nous remarquons ce sursaut subit par où nous nous rendons compte que nous n'avons pas suivi l'instruction, nous abandonnons simplement la distraction à elle-même et revenons à la respiration, notre objet délibéré d'attention.

    Couverture de Le cercle créateur
    page(s) 390-391
  • Comme si nous possédions une identité séparée

    Nous partons du flux continu de nos expériences, de nos pensées, de nos sentiments et de nos émotions, ce qui représente un héritage fondamental en Occident. Mais, dans ce contexte, le point de focalisation porte sur un type spécifique de phénomène : le fait de se reposer sans examen sur quelque forme d'identité personnelle ou de « soi ».

    Il ne s'agit pas nécessairement d'une notion explicite. Elle est implicite, et nous la partageons avec les jeunes enfants et les animaux. On applique une réduction dans le dessein d'examiner ses dimensions constitutives. L'enjeu consiste à prendre en considération les diverses manières selon lesquelles nous agissons comme si nous possédions une identité séparée ou substantielle, un soi à protéger, à promouvoir ou à conserver, un soi entendu comme une unité psychophysique inséparable. […]

    [C]e sont nos schémas habituels qui nous conduisent à agir comme si nous possédions un soi substantiel, et à lui attribuer, à lui et à notre monde, des qualités qui sont le fait d'une attitude qui ne s'est pas examinée elle-même. Or ces schémas ne résistent pas à une analyse approfondie.

    Couverture de Le cercle créateur
    page(s) 387-389
  • Toute affirmation positive reste de l'ordre de l'ego

    [S]i vous êtes noyé dans des pensées négatives sur vous-même, l'emploi d'affirmations positives telles que « Je suis en parfaite santé » ou « Je suis beau/belle et désirable » peut être un moyen important et efficace d'équilibrer temporairement les plateaux de la balance et de vous sortir de la posture négative. Toutefois, il ne traite pas le problème plus profond, qui est que vous êtes toujours au niveau des histoires que l'ego raconte sur vous. [...L']affirmation vient de la pensée, et la pensée n'est jamais autre chose qu'un instrument de l'ego.

    Selon moi, il existe deux sortes d'affirmations « positives ». Premièrement, il y a une reconnaissance de soi qui émerge spontanément, comme la réalisation « Je suis en parfaite santé » qui arrive sans qu'on la sollicite, sans aucune intention consciente. Immédiatement, vous savez que vous êtes en parfaite santé. [...]

    En revanche, lorsque vous employez intentionnellement une affirmation positive, son pouvoir de guérison est toujours inférieur à celui de celle qui surgit spontanément. Pourquoi auriez-vous besoin – sauf à vouloir restaurer un équilibre temporaire – d'affirmer quelque chose de positif sur vous-même, en dehors du fait qu'une partie de vous croit le contraire et qu'elle a peur de vos jugements et des émotions qu'ils créent ? Même si vous pouvez temporairement retrouver un certain bien-être grâce aux affirmations positives, vous n'en êtes pas moins en train d'énoncer aussi inconsciemment des jugements négatifs. Dès que l'effet de l'affirmation s'efface, le négatif refait surface, du moins tant que vous ne savez pas réellement qu'il est faux. Dans ce cas, bien sûr, vous n'avez plus besoin d'une affirmation positive.

    Un travail plus profond consiste à voir que vous n'êtes ni l'affirmation négative, ni l'affirmation positive – ce ne sont que des pensées.

    Couverture de Plénitude, empathie & résilience
    page(s) 158-159
  • Faire confiance et créer de l'espace pour les sentiments

    Pour votre ego, les émotions créées par vos pensées paraissent toujours légitimes et font véritablement partie de votre identité. Pour votre corps, en revanche, la colère, le ressentiment, la peur, la suffisance ou l'autodérision générés par vos pensées sont de vrais poisons chimiques. Le cerveau libère des neuropeptides dans votre sang et vos muscles se raidissent, votre tension artérielle augmente, vos glandes surrénales sécrètent du cortisol et la résistance à l'insuline est proche. Il existe un mot simple pour décrire ces symptômes : le stress. Le genre de stress qui conduit aux maladies cardiaques, au diabète, aux congestions cérébrales et probablement à certains cancers, sans parler du sentiment d'être malheureux.

    Ironiquement, alors que l'ego justifie des émotions pouvant être très destructrices, comme le ressentiment et la haine, il ne vous permet pas souvent de vous arrêter sur des sentiments expansifs, comme la joie ou l'amour, et il fuit instantanément tout sentiment menaçant, comme l'impuissance. Et pourtant, le fait de vous ouvrir aux sentiments les plus élevés et les plus bas ne vous blessera jamais autant que les émotions destructrices. En faisant de la place à ces sentiments, vous pourrez établir une relation plus saine avec des situations apparemment inextricables (conflits familiaux de toute une vie, par exemple). Vous écarterez également vos doutes sur votre propre valeur. Il est sage de se méfier de ses émotions et d'apprendre à se libérer de celles qui nous empoisonnent, tout en apprenant à faire confiance et à créer de l'espace pour les sentiments, y compris les plus sombres.

    Couverture de Plénitude, empathie & résilience
    page(s) 22-23
  • Les deux erreurs fondamentales

    Quelles sont [nos] erreurs ? Premièrement, nous avons tendance à nous identifier à nos propres pensées, ce qui crée souvent une réalité émotionnelle destructrice. Le fait de croire en nos pensées – ou en celles inculquées par notre famille et la société – sans les remettre en cause, nous met souvent en conflit avec nous-mêmes, avec les autres et avec la vie elle-même.

    Deuxièmement, beaucoup de nos sentiments nous font peur, et, en essayant de les fuir, notre ego se ferme à une grande partie de notre vie intérieure et à la source de la véritable santé.

    Couverture de Plénitude, empathie & résilience
    page(s) 22
  • Changer de niveau

    Guérir en profondeur consiste à apprendre à se libérer de cette composante : la souffrance émotionnelle générée par vos propres pensées. […]

    [V]ous allez devoir changer de niveau et passer de la pensée à la conscience de la pensée.

    Couverture de Plénitude, empathie & résilience
    page(s) 17
  • À la fois attentif et en retrait

    Il est […] nécessaire, à la fois, de ne pas se laisser emporter par le flux de l'agitation mentale, sans être, cependant, complètement absorbé dans des états d'intériorisation, ce qui nous empêcherait de percevoir le jeu des pensées. Nous devons toujours « maintenir la distance » qui rend possible la pratique[.]

    Les états de concentration ou l'esprit est focalisé, centré, conduisent à l'absorption du samadhi. Mais la vigilance nécessaire pour percevoir les mécanismes du « moi » est très différente. C'est un état d'attention globale, non centré, ou la conscience est simplement présente à elle-même, sans être fixée sur rien de particulier, attentive aux pensées et aux émotions qui surgissent sans les juger, sans les accompagner, en demeurant simplement en retrait.

    Couverture de Les Mécanismes du moi et le silence intérieur
    page(s) 18-19
  • Deux formes de conscience

    Nous sommes conscients de ce fond de Présence et en même temps des pensées qui émergent et se déploient dans l'espace mental. C'est une subtile division entre la part témoin qui observe et celle observée. Car, en apparence du moins, il existe bien deux formes de conscience. D'une part la Pure Présence d'être, lumineuse et claire ; d'autre part, la conscience égotique, intrinsèquement liée aux modifications mentales. Et c'est en s'appuyant sur la première que l'on peut prendre suffisamment de distance avec la « seconde » pour la connaître.

    Couverture de Les Mécanismes du moi et le silence intérieur
    page(s) 17-18
  • Observer sur le vif

    Les savoirs de la science, de la théologie, de l'ésotérisme sont mis de côté, car ce sont des spéculations sur des objets qui n'appartiennent pas à notre expérience immédiate. Ce qui ne veut pas dire que le big-bang, les anges, les photons ou Dieu n'existent pas, mais ils n'entrent pas dans le cadre de cette quête. Le champ d'investigation de ces disciplines n'est pas le même.

    Il ne s'agit pas non plus d'une réflexion, d'une analyse, au sens psychologique du terme, décryptant le fonctionnement du « moi » en se basant sur des informations, des investigations antérieures. Là encore, une telle démarche fait appel à un savoir extérieur et demande des connaissances qui n'appartiennent pas à notre expérience immédiate.

    En réalité, il s'agit d'effectuer une prise de conscience « sur le vif » des mécanismes du moi, et pour cela d'ouvrir ses sens intérieurs pour explorer les multiples nuances de la pensée, des sentiments, des sensations […]

    Nous sommes dans notre petit laboratoire intime. Pour cela pas besoin d'instruments compliqués. Notre attention suffit. Tout est là, immédiatement présent.

    Couverture de Les Mécanismes du moi et le silence intérieur
    page(s) 14-15
  • Le monde naît lorsqu’on s’éveille

    Pour réellement connaître une pensée, elle doit être observée du point de vue de la conscience percevante.

    Cette perspective est radicalement opposée à celle de la science pour laquelle seul existe l'objectivable, le constatable par tous. Au contraire, dans cette nouvelle perspective qui doit être la nôtre, le monde naît lorsqu’on s’éveille et disparaît avec le sommeil[.]

    Couverture de Les Mécanismes du moi et le silence intérieur
    page(s) 13
  • Plus d'espace pour danser

    C'est ainsi que nos pensées commencent à ralentir, si je me fie à mon expérience. Comme par magie, on a l’impression qu'il y a beaucoup plus d'espace pour respirer et danser et beaucoup plus de bonheur.

    Couverture de Quand tout s’effondre
    page(s) 192 (21 - Inverser la roue du samsara)
  • Chaque acte, chaque pensée, chaque émotion compte

    Chaque acte compte. Chaque pensée et chaque émotion comptent aussi. La voie, ce n'est rien de plus.

    Couverture de Quand tout s’effondre
    page(s) 191 (21 - Inverser la roue du samsara)