bonheur

Extraits étiquetés avec : bonheur

  • Le véritable bonheur

    Le véritable bonheur […] sera toujours avec vous et il vous encouragera aussi bien dans l'adversité que dans les moments heureux. Quand vous réussirez, vous apprécierez votre réussite et, quand vous échouerez, ce ne sera pas si grave.

    Couverture de Libre de soi, libre de tout
    page(s) 33
  • Noblesse de chacun

    Le mot noblesse ne fait pas référence aux chevaliers du Moyen Âge ni à la cour. Il vient du mot grec gno (comme dans « gnose »), qui signifie « sagesse » ou « illumination intérieure ». En anglais, le terme nobility est défini comme une qualité humaine d'excellence [donc chevaleresque…], correspondant à ce qui est illustre, admirable, éminent, distingué, de par sa valeur, son comportement et son maintien. Comment pouvons-nous intuitivement nous relier à cette qualité présente en ceux qui nous entourent ? […] L'un des moyens consiste à faire un petit saut dans le temps, en imaginant la personne qui est en face de nous lorsqu'elle était enfant, encore jeune et innocente. […]

    Au lieu de remonter dans le passé, nous pouvons aussi nous projeter dans le futur, et visualiser la personne à la fin de sa vie, allongée sur son lit de mort, vulnérable, ouverte, n'ayant plus rien à cacher. Ou simplement la regarder comme un compagnon de route, se débattant avec son fardeau, aspirant au bonheur et à la dignité. Derrière les peurs et les besoins, l'agressivité et la peine, tout ceux que nous rencontrons sont des êtres qui comme nous ont un énorme potentiel de compréhension et de compassion, et dont la bonté est là, prête à se révéler.

    Couverture de Bouddha mode d’emploi
    page(s) 37-38
  • Notre capacité à être libres

    Je désire que nous découvrions le pouvoir qu'a notre cœur de contenir toute chose – peine, solitude, honte, désir, regret, frustration, bonheur et paix –, et que, où que nous soyons et quoi qu'il nous arrive, nous ayons profondément confiance en notre capacité à être libres au milieu de tout cela.

    Couverture de Bouddha mode d’emploi
    page(s) 27
  • Nous pouvons choisir

    En tant qu'être humains, nous avons la possibilité de nous débarrasser des vieilles habitudes, de nous intéresser les uns aux autres et de nous aimer les uns les autres. Nous avons la capacité de nous éveiller et de vivre en pleine conscience mais, vous l'avez peut-être remarqué, nous sommes aussi fortement enclins à rester endormis. C'est comme si nous étions toujours à un carrefour, occupés à décider quel chemin prendre. À chaque instant, nous pouvons choisir d'aller vers plus de clarté et de bonheur, ou vers la confusion et la souffrance.

    Couverture de Vivez sans entrave
    page(s) 9
  • La peur est un as de la tromperie

    La peur est un as de la tromperie. Quand vous gobez ses mensonges, elle vous prive de votre temps, de votre espoir et de votre force vitale. […]

    La peur vous prive de votre véritable sécurité, de votre bonne volonté, de votre bonheur, et de votre aptitude naturelle à prospérer, vaincre les difficultés et connaître l'épanouissement.

    Couverture de Vivre sans peur
    page(s) 20
  • Sagesse ici-bas

    La sagesse ! Le mot m'attire, parce qu'il est promesse de bonheur. Un bonheur qui est ici et maintenant. Un bonheur qui n'est pas pour après… après la mort.

    Le mot sagesse a un goût d'ici-bas. C'est pourquoi je le préfère au mot spiritualité qui, en Occident, est le plus souvent associé à une religion qui semble plus préoccupée par le salut que par la sagesse de ses fidèles. […]

    Le bonheur. C'est une expérience dont on témoigne par une manière d'être dans la vie de tous les jours. […]

    La sagesse ? Ne compliquons pas les affaires. La sagesse est l'art de vivre l'âme en paix. Voilà qui devrait intéresser l'homme actuel bousculé, tendu, stressé, inquiet. […]

    Qui n'aimerait pas vivre l'âme en paix, en confiance, dans la simplicité, le silence intérieur et la joie d'être ?

    Mais comment réaliser cet état d'être ? Comment devenir cette femme en paix ; comment devenir cet homme en paix ? Et cela dans la vie telle qu'elle est (et pas comme on aimerait qu'elle soit).

    Au Ier siècle de notre ère, Épictète, philosophe de l'école stoïcienne, enseigne que « l'ataraxie (la paix de l'âme) est le plus grand bien auquel l'homme puisse accéder ». Il ajoute : « Afin d'accéder à ce plus grand bien, l'homme doit s'efforcer. »

    Voilà la réponse au comment : afin d'atteindre la paix de l'âme, l'homme doit faire effort sur soi, s'exercer.

    Couverture de La sagesse exercée
    page(s) 13-15
  • Personne ne peut nous sauver !

    [N]ous rêvons d'un amour idyllique et dans le même temps, comme tant d'ouvrages, de romans et de films le décrivent, la quête d'amour est devenue pour nous une sorte de chasse visant à enrichir et à solidifier notre moi. Dans la logique du terrier, l'amour vise à me permettre d'accomplir mon potentiel. D'exercer mon droit au bonheur et au plaisir. Il existe pour ce faire des techniques de gestion des affects plus ou moins efficaces.

    Proust ne rêve pas. Il montre les choses telles qu'elles sont désormais pour nous. Il ajoute que l'illusion amoureuse tient aussi au fait que j'attends d'autrui un salut qui ne pourrait venir que de moi-même. Personne ne peut nous sauver !

    Couverture de La tendresse du monde
    page(s) 29-30
  • Tu peux

    [L]e bonheur est possible, parce que l'attention est possible, la méditation également, mais surtout parce que le bonheur est notre véritable nature, c'est notre nature de Bouddha, notre « Être éveillé ». Savoir qu'on est éveillé, cela suffit-il pour l'être ? Savoir que « dans le fond » on est heureux, cela suffit-il pour l'être ? Il ne suffit pas sans doute de le savoir, ni de le croire, ni de l'imaginer. Il faut l'être, le laisser être, ce bonheur infini qui est aussi Conscience infinie, compassion infinie – comment ? Que ce soit par une voie directe (lâcher prise), ou une voie progressive (Octuple Sentier), cela relève de notre plus intime conviction, posse, tu peux.

    Couverture de La sagesse qui guérit
    page(s) 136
  • Vivre sans attente

    Lorsqu'en de rares moments nous n'éprouvons ni le besoin d'être aimé ni celui de ne pas être aimé, nous pouvons nous laisser aller à être nous-même et en ressentir un sentiment de liberté. Nous cessons alors automatiquement de nous contraindre, de nous rapetisser ou de vouloir grandir.

    Vivre sans attente ne signifie pas se résoudre à la passivité. À l'inverse, cela libère le geste. L'action peut alors naître du goût d'être soi-même et de s'exprimer. Toute attente, tout désir élève une barrière entre soi et le monde. Nous ne sommes plus avec ce qui est, nous sommes avec ce que nous pensons devoir être.

    Être en bonne santé, ne pas être malade, être joyeux, ne pas être triste, faire de l'argent, prospérer, ce sont des attentes. Et ces attentes nous empêchent de réagir simplement à ce qui nous arrive. Au fond, il n'y a rien de psychologique dans tout cela, au contraire, notre personnalité psychologique complique parfois le tout. Vivre sans attente nous permet de faire ce qu'il y a à faire et c'est tout. Nous ne nous plaignons pas de ce qui nous arrive, nous n'avons pas d'idée préconçue de ce qui doit arriver ou ne pas arriver. Le malheur vient, nous faisons ce qu'il y a à faire. Le bonheur est là, nous en profitons au maximum.

    Couverture de La guérison du cœur
    page(s) 249-250
  • Une seule porte de sortie

    À mon sens, il n'existe qu'une seule porte de sortie : réaliser que vous êtes déjà tout ce que vous cherchez, que vous êtes la plénitude et le bonheur auxquels vous aspirez, que ce bonheur est en vous et que vous l'aviez oublié. Alors, vous pouvez vous détendre et profiter de la vie.

    Couverture de La guérison du cœur
    page(s) 248
  • S’aimer tel qu’on est

    Être en bonne santé, c'est s'aimer tel qu'on est, dans tous les moments successifs de sa vie, que ce soit en colère, heureux, malheureux, triste, rieur, fou, logique, rationnel, intuitif, créatif. C'est s'aimer avec ses manques, son manque d'amour de soi et des autres, ses refus de s'ouvrir, son plaisir à le faire.

    On ne peut atteindre une vie spirituelle intense, on ne peut accéder au bonheur en niant la nature de ses émotions, de ses pensées et de sa réalité physique. N'ayez pas peur de ce qui surgit de vous… Donnez-vous la permission de vous sentir. Soyez votre propre laboratoire (Marie-Lise Labonté, S'autoguérir, c'est possible, p.184).

    Couverture de La guérison du cœur
    page(s) 171
  • Malades de surindividualisation

    [S]elon une vision globale de l'être, le cœur cherche à s'ouvrir. Il cherche une expansion naturelle dans le bonheur. Il cherche à battre intensément au cœur de la vie. Il cherche à aimer pleinement à chaque seconde. Il cherche à aimer à tout rompre. Il cherche à aimer jusqu'à rompre les chaînes qui le font prisonnier du malheur. Les sentiments d'isolement, de solitude et d'abandon que la plupart des gens connaissent, oppriment le cœur qui tente de renouer son lien avec l'univers, qui cherche à retrouver le mouvement naturel liant l'individualité à l'universalité. […]

    La véritable et unique maladie ne résiderait-elle pas dans la perte du lien avec notre dimension universelle ? Ne consisterait-elle pas dans la conviction d'être seul et abandonné, chacun et chacune sur son île déserte ? Ne souffririons-nous pas tout simplement d'un surplus d'individualité, d'une « surindividualisation » pour ainsi dire ?

    Couverture de La guérison du cœur
    page(s) 37
  • L'ami sur le chemin spirituel

    L'ami est une grande aide sur le chemin spirituel, c'est même le sens profond de sa présence. Le Bouddha insiste sur ce rôle joué par l'amitié : « Si tu trouves un ami sage, prêt à cheminer avec toi, résolu, constant, bravant avec courage tous les dangers, vis avec lui, ô sage, dans la sérénité et le bonheur. Si tu ne trouves pas d'ami sage, prêt à cheminer avec toi, résolu, constant, marche seul, comme un roi après une conquête ou un éléphant dans la forêt. »

    Couverture d'Aimer d’amitié
    page(s) 26
  • La douceur peut retourner le mal

    Dans l'ordre du symbolique comme dans certains arts martiaux, la douceur peut retourner le mal et le défaire mieux qu'aucune autre réponse. Rien ne peut l'obliger ni y commettre autrui.

    De nos jours, la douceur nous est vendue sous sa forme frelatée de mièvrerie. En l'exaltant dans l'infantile, l'époque la dénie. C'est ainsi que l'on tente de venir à bout des hautes exigences de sa subtilité, non plus en la combattant mais en la lénifiant. Le langage lui-même s'en trouve perverti : ce que notre société destine aux êtres humains qu'elle broie « en douceur », elle le fera au nom des valeurs les plus élevées : bonheur, vérité, sécurité.

    Couverture de Puissance de la douceur
    page(s) 13
  • Plus d'espace pour danser

    C'est ainsi que nos pensées commencent à ralentir, si je me fie à mon expérience. Comme par magie, on a l’impression qu'il y a beaucoup plus d'espace pour respirer et danser et beaucoup plus de bonheur.

    Couverture de Quand tout s’effondre
    page(s) 192 (21 - Inverser la roue du samsara)
  • Bas les masques

    On peut croire à tort que maitrī est un moyen de trouver un bonheur durable. [...] C'est plutôt un processus par lequel l'auto-illusion est mise à nu avec tant d'habileté et de compassion qu'on ne peut plus se cacher derrière aucun masque.

    Couverture de Quand tout s’effondre
    page(s) 48 (5 - Il n'est jamais trop tard)
  • Risque de déformer les enseignements

    [C]omprenez bien que, quelle que soit votre bonne volonté à l'égard de ces enseignements, vous les abordez inévitablement à travers votre mentalité actuelle, ces certitudes, ou ces fausses certitudes qui ne vous ont pas conduits à la paix et au bonheur mais dont vous ne vous débarrasserez pas facilement.

    Vous risquez de mal entendre ce qui vous est dit ou ce que vous lisez et de le déformer, plus même, de le changer, sans vous en rendre compte, en son contraire et par conséquent de ne jamais approcher les résultats que vous espérez. Il faut aussi le courage de voir ceci en face.

    Couverture de Un grain de sagesse
    page(s) 22
  • Le droit d'être pleinement

    La première leçon que m'a donnée Narcisse était l'impératif de me connaître. La deuxième, tout aussi surprenante, fut le droit que j'avais d'être, d'être pleinement, d'être comme je suis, d'être heureux. Gratuitement heureux, inconditionnellement heureux. Ici et maintenant. Tout de suite et sans remords. Sans honte. Sans culpabilité.

    Couverture de Sauvez votre peau !
    page(s) 36
  • Le vrai silence auquel l'âme aspire

    Une intuition secrète avertit l'homme que le vrai silence auquel l'âme aspire est plus qu'une agréable absence de bruit ou le calme compensateur de l'agitation et du surmenage dont sa vie est faite. Plus aussi que la condition de toute vie intérieure et de toute santé psychique. Il a l'intime sentiment que le vrai silence va au-delà, fondamentalement, d'un simple élément, même déterminant, d'une existence heureuse et qu'il correspond plutôt à l'expérience de la vie qui s'épanouit. Même encore maintenant subsiste le sentiment instinctif que les instants vraiment heureux se vivent en silence et que, réciproquement, parvenir à ce calme fait naître le bonheur.

    Couverture de Le Japon et la culture du silence
    page(s) 10-11
  • Les trois domaines d'existence

    En bref, les domaines d'existence (dhatu) sont les trois mondes du désir (kamadhatu), de la forme (rūpadhatu) et du sans-forme (arūpadhatu).

    Nous sommes dans le monde du désir quand nous touchons la présence de l'avidité, de la colère, de l'arrogance et de l'illusion. Les êtres qui vivent dans ce monde souffrent beaucoup car ils ne cessent de courir après quelque chose.

    Quand nous choisissons de vivre simplement et d'abandonner un peu de notre avidité, nous sommes dans le monde de la forme. Dans ce monde, nous souffrons moins et nous pouvons connaître un peu de bonheur.

    Dans le troisième monde, celui du sans-forme, la matérialité est absente. Seule l'énergie est présente, et cette énergie se manifeste dans notre esprit, notre colère, notre souffrance, etc. La vie continue mais il n'y a pas de perception de la forme.

    Couverture de Pour une métamorphose de l’esprit
    page(s) 46-47