Nous passons à l'acte parce que nous croyons, paradoxalement, obtenir ainsi un certain soulagement. Nous assimilons ce passage à l’acte au bonheur. Souvent il y a quelque soulagement, pour un instant. Quelqu'un qui souffre d'une dépendance et qui y cède peut éprouver de brefs moments de soulagement. Ensuite, le cauchemar s'aggrave. Même chose pour l'agression.