Quatrième de couverture
Ce livre, c'est nous, assure Krishnamurti. Le livre de la méditation et de la vie se découpe en autant de parties qu'il y a de mois de l'année. À chaque semaine son thème et à chaque jour sa variation. Le tout tendant vers une progression. Ainsi, alors que les quatre semaines de janvier dispensent une réflexion sur la capacité à « Écouter », « Apprendre » et faire fi de « L’autorité » pour tendre à « La connaissance de soi », celles de décembre closent 365 jours de pensées par les questions de « La solitude », « La religion », « Dieu » et « La méditation ».
On retrouve tous les thèmes chers au penseur et ces questions, répétées pour mieux nous « guider » vers la compréhension du « moi » : pourquoi persistons-nous à vouloir nous connaître tels que nous désirons être et non tels que nous sommes ? pourquoi avons-nous peur de l’inconnu ? pourquoi l’attachement ? l’incertitude ? la soif de devenir ? On prend connaissance dans ce livre des acceptions qu’attribue Krishnamurti à certaines notions comme la passion, de sa volonté d’accession au point du libérateur « Je ne sais pas », de son rejet de l’analyse.
Enfin, au 365e jour, on lit ce que la méditation n’est pas : une respiration particulière, un salut au soleil. Car « méditer, c’est purger l’esprit de toute activité égocentrique ».