Le « non » du cœur, c’est simplement refuser que ce qui est soit. […]
[L]e cœur est une fonction qui, normalement, dit toujours « oui ». Le refus du cœur nous coupe de la réalité et nous réinsère dans la séparation, dans l’individualisme ou, pour employer le mot le plus couramment utilisé, le sens de l’ego. Et l’effacement de l’ego, c’est le retour du cœur à son fonctionnement normal qui est l’adhésion à ce qui est.