cœur

Extraits étiquetés avec : cœur

  • Le vrai silence intérieur

    Un cœur purifié vous conduit à une expérience vécue totalement inattendue : se sentir intensément aimé alors même qu’il n’y aurait personne pour vous aimer. [… L]e vrai silence intérieur, la découverte ultime est un état dans lequel on se sent intensément aimé alors même que nous serions entourés de gens qui ne nous aiment pas, qui nous considèrent comme un ennemi, qui essaient de nous critiquer ou de nous faire du tort.

    Couverture de La voie du cœur
    page(s) 31 (poche)
  • Le chemin, le cœur

    Le chemin commence avec le cœur et finit avec le cœur. Le chemin, c’est l’aventure du cœur. […]

    Les êtres humains sont nés pour se sentir aimés et pour aimer.

    Couverture de La voie du cœur
    page(s) 30 (poche)
  • Le « non » du cœur

    Le « non » du cœur, c’est simplement refuser que ce qui est soit. […]

    [L]e cœur est une fonction qui, normalement, dit toujours « oui ». Le refus du cœur nous coupe de la réalité et nous réinsère dans la séparation, dans l’individualisme ou, pour employer le mot le plus couramment utilisé, le sens de l’ego. Et l’effacement de l’ego, c’est le retour du cœur à son fonctionnement normal qui est l’adhésion à ce qui est.

    Couverture de La voie du cœur
    page(s) 28 (poche)
  • Cœur sans limite

    Il y a une limite à notre capacité de perfectionnement physique, une limite aux capacités d’exercice de l’intellect. La transformation du cœur, elle, n’a pas de limite.

    Couverture de La voie du cœur
    page(s) 24 (poche)
  • Le mental, perception et conception viciées par les impuretés du cœur

    Quand nous utilisons le mot « mental » pour traduire manas au moins dans le sens de l’expression manonasha (destruction du mental), nous concevons immédiatement « mental » comme une fonction de la tête, une fonction de la pensée et de l’intellect. Et nous ne comprenons pas tout de suite que le mental, c’est avant tout une question d’émotion, donc une question de cœur, ni le lien qu’il peut y avoir entre la destruction du mental, manonasha, et la « purification du cœur ». Le mental, c’est la perception et la conception viciées par les impuretés du cœur.

    Couverture de La voie du cœur
    page(s) 19 (poche)
  • L’intelligence du cœur, la réalisation de la non-dualité

    Souvenez-vous de cette expression, « l’intelligence du cœur », qui a le mérite d’être « bien de chez nous » et n’est pas traduite du sanscrit. Mais elle est difficile à comprendre, puisque dans les conditions ordinaires le cœur non seulement n’est pas un instrument de connaissance mais au contraire un instrument d’aveuglement, d’ignorance, de coupure, de séparation.

    Même si vous admettez que la Connaissance suprême est la réalisation de la Non-Dualité, elle ne peut se découvrir que dans le cœur et non par l’intellect. Car la conscience de la dualité ou de la séparation se situe d’abord dans le cœur, selon le mécanisme de l’attraction et de la répulsion.

    Couverture de La voie du cœur
    page(s) 17 (poche)
  • L’ésotérique, c’est le cœur

    Quand on utilise le mot « ésotérique », réalise-t-on tout de suite que c’est du cœur qu’il s’agit ?

    Couverture de La voie du cœur
    page(s) 16 (poche)
  • L’essence même du chemin

    La vérité, c’est que toutes les voies donnent la primauté au cœur […] De cela […] l’Occidental n’est pas convaincu. Il cherche plutôt des enseignements initiatiques mystérieux, exceptionnels et passe ainsi à côté de l’essentiel.

    La première erreur consiste à ne pas comprendre que le cœur est la seule possibilité d’accéder à ce qu’il est convenu d’appeler « les états supérieurs de conscience ». Mais, vous le savez, ce cœur est encombré de peurs, de désirs, d’émotions. Et la purification du cœur, c’est la disparition progressive, par une technique ou par une autre, de ces peurs et de ces désirs. C’est l’essence même du chemin.

    Couverture de La voie du cœur
    page(s) 12 (poche)
  • Tendresse & tristesse

    Quand nous éveillons ainsi notre cœur, nous découvrons avec surprise qu’il est vide. Nous constatons que nous regardons l’espace. Que sommes-nous, qui sommes-nous, où est notre cœur ? Si nous regardons vraiment, nous ne verrons rien de tangible ni de solide. Bien-sûr, il se peut que nous trouvions quelque chose de très solide si nous en voulons à quelqu’un ou si nous vivons un amour possessif. Mais ce n’est pas là un cœur éveillé. Si nous cherchons le cœur éveillé, si nous creusons dans notre poitrine pour le trouver, nous n’y découvrirons rien d’autre qu’une sensation de tendresse. C’est doux et endolori, et si nous ouvrons les yeux sur le monde, nous éprouvons une immense tristesse.

    Couverture de Shambhala
    page(s) 47
  • Importance de la transmission

    Dans le christianisme comme dans le bouddhisme ou le soufisme, le but de la méditation est de parvenir à la pureté du cœur et de l'esprit qui font de tout homme le réceptacle ou le miroir sans tache de la pure lumière.

    L'accueil de cette lumière, rayonnement et présence de l'Être incréé, introduit l'homme dans un état de paix ne dépendant pas des circonstances (santé, humeurs, environnement, etc.), c'est-à-dire un état de paix non psychique, mais spirituel, ontologique. C'est l'expérience de cette Réalité que les chrétiens appellent hésychia, qui donnera naissance à l'hésychasme. […]

    Cette expérience est le fruit d'une transmission orale, de cœur à cœur, d'être à être, d'où l'importance dans le christianisme, comme dans le bouddhisme et le soufisme, de l'appartenance à une authentique lignée qui nous transmet sans corruption la juste praxis ou pratique, et l'authentique gnosis ou contemplation.

    Couverture de La montagne dans l’océan
    page(s) 21
  • La dimension du cœur

    [J]'ai découvert que la véritable origine du malheur était toujours un blocage affectif de la joie. Sous le stress, la fatigue et l'insatisfaction, il y a toujours des peurs paralysantes, des colères réprimées et des tristesses refoulées le plus souvent depuis l'enfance. Sous la timidité, la culpabilité, la honte, la haine ou la mésestime de soi, il y a toujours un besoin de retrouver le chemin du plaisir, de l'amour et de l'enthousiasme.

    Le bonheur est un affect. C'est donc sur le plan affectif – la dimension du cœur – que la guérison physique et spirituelle doit s'opérer pour que le corps accède à sa plus puissante santé et que l'esprit s'éveille à sa plus grande sagesse.

    Couverture de L’expérience du bonheur
    page(s) 25-26
  • La source de la compassion est toute proche

    Loin d'être une pitié légèrement condescendante ou teintée de sentimentalité, la compassion est ce qui se déploie à partir d'une ouverture primordiale, où s'abolit la distinction entre « moi » et « l'autre ». L'acte compatissant n'est pas le fruit d'une décision volontaire ni d'un « ressenti » subjectif : il est dicté par la situation.

    Le bodhisattva est tellement en phase avec le réel qu'il est capable d'agir ni pour lui ni pour autrui, mais à partir de l'environnement : il est celui qui sait se mettre à l'écoute de la situation, et y répondre pleinement.

    L'action compatissante, telle que l'incarne le bodhisattva, est délestée des attentes, de l'espoir de recevoir quelque chose en retour : elle est don pur, désintéressé. Cette gratuité est si éloignée de notre façon habituelle d'agir que le risque est d'en faire un idéal inatteignable. Pourtant, loin d'être un absolu hors de notre portée, la source de la compassion est toute proche, et d'une grande simplicité. Il suffit de nous tourner vers notre propre cœur. Qu'y découvre-t-on ? Un « point sensible », au point d'être douloureux. (Faustine Ferhmin)

    Couverture de 50 fiches pour comprendre le bouddhisme
    page(s) 58
  • Toucher la corolle du cœur

    Le Mahāyāna est marqué par la notion d'un « entraînement » du cœur et de l'esprit. Contrairement à ce que l'on croit parfois, il ne s'agit pas de devenir plus compatissant – dans une perspective liée au devoir ou à une morale quelconque. Il s'agit de toucher la corolle du cœur de telle manière que son ouverture ne soit plus refusée. En découvrant chaque fois à neuf la source de la compassion, le lien qui nous unit au monde, jaillit et irradie plus avant.

    Couverture de 50 fiches pour comprendre le bouddhisme
    page(s) 22
  • Entendre la vérité

    Quand nous sommes […] totalement immergés [dans l'écoute musicale], notre esprit se retrouve à un niveau différent. Nous écoutons sans jugement ni interprétation intellectuelle, parce que nous écoutons avec le cœur. C'est ainsi qu'il faut écouter quand on veut entendre la vérité.

    Couverture de Bouddha rebelle
    page(s) 15
  • Féériquement vide et appelant

    Quelques pas dehors, un bol de thé vert à la main. Une jeune pluie se mêle à la promenade. Des petits jaillissements de diamants en surface du thé. Je bois une gorgée parfumée à l'eau du ciel. Ton chant soulève les dalles de l'air. J'ai toujours su que quelque chose manquait à la vie. J'ai adoré ce manque. Le printemps rouge des hortensias, le livre bleu des neiges, le miracle de l'arc-en-ciel, les chansons en or de quatre sous, j'accepte que tout disparaisse puisque tout reviendra. J'accepte de tout perdre et que, dans le temps passager de cette perte, le nid d'hirondelle que j'ai dans la poitrine soit vide, vide, vide, féériquement vide et appelant.

    Couverture de Un bruit de balançoire
    page(s) 37-38
  • La seule destination

    Le cœur est la seule destination. On y arrive quand on ne croit plus rien.

    Couverture de Un bruit de balançoire
    page(s) 25
  • Bâtir sur l’expérience et non sur la croyance

    Comment le christianisme, le bouddhisme ou tout autre mouvement historique vital ont-ils commencé ? Avec quelques-uns que cette idée, ce sentiment, avaient enflammés. Leurs cœurs s'étaient ouverts à une nouvelle vie, ils étaient un noyau qui ne suivaient pas une croyance mais qui avaient en eux-mêmes l’expérience de la réalité, de la réalité de ce qu'ils voyaient.

    Couverture de L'esprit de création
    page(s) 24
  • Nous sommes vulnérables

    Je loue le fait que, en tant q'humains, nous ne sommes jamais tout à fait libres de ce que nous dicte la compassion. Nous sommes nés totalement dépendants de soins prodigués par autrui. Nous avons grandis et sommes parvenus à l'âge adulte parce que d'autres ont pris soin de nous. Même du haut de notre autonomie d'adultes, la présence ou l'absence de l'affection des autres détermine fortement notre bonheur ou notre misère. C'est la nature humaine : nous sommes vulnérables, et c'est une bonne chose. Un cœur sans peur peut embrasser cette vérité fondamentale de la condition humaine.

    Couverture de N’ayons  plus peur
    page(s) 36-37
  • Paraboles & contes

    Paraboles et contes sont disséminés dans tout le corpus bouddhique. En même temps, ces textes constituent un genre littéraire à part entière. Leur beauté réside dans leur capacité à susciter l'intuition de ce qui est réellement. Il suggèrent une vision claire, une évidence libérée de la tension qu'impose le jeu des questions et des réponses. Ils s'adressent directement à l'intelligence du cœur et non pas au mental. D'accès aisé, ils ont contribué à la diffusion du dharma dans de larges couches de la population.

    Couverture de Le grand livre du bouddhisme
    page(s) 478
  • Notre capacité à être libres

    Je désire que nous découvrions le pouvoir qu'a notre cœur de contenir toute chose – peine, solitude, honte, désir, regret, frustration, bonheur et paix –, et que, où que nous soyons et quoi qu'il nous arrive, nous ayons profondément confiance en notre capacité à être libres au milieu de tout cela.

    Couverture de Bouddha mode d’emploi
    page(s) 27