corps

Extraits étiquetés avec : corps

  • Trop souvent « perchés »

    Trop souvent, nous ne sommes pas du tout enracinés dans notre corps, nous sommes comme « perchés ». Notre corps reste abstrait et lointain. Nous confondons son utilisation à coups de régimes et de cures, d'exercices plus ou moins intensifs et de prises de médicaments divers avec le fait d'entrer véritablement en rapport à lui. Nous croyons que l'effort, voire l'épuisement ou la douleur sont des signes que nous sommes en rapport avec notre corps. C'est une illusion.

    Couverture de Pratique de la méditation
    page(s) 19
  • Réaliser notre intégrité

    Nous pouvons réaliser notre intégrité grâce à la respiration consciente, qui nous ramène à notre corps et à notre esprit. Réaliser notre intégrité est aussi nous rénover à chaque instant. Nous sommes neufs, et les autres aiment être avec nous.

    Couverture de Transformation et guérison
    page(s) 54
  • Voir les merveilles de la vie

    [L]e pratiquant peut voir les merveilles de la vie dans son corps, son esprit, sa respiration et peut rendre les sensations de paix et de joie stables et fortes.

    Couverture de Transformation et guérison
    page(s) 52
  • Unité du corps et de l'esprit

    Dans la pratique de la méditation, la distinction entre le corps et l'esprit se dissout, nous parlons de l'unité du corps et de l'esprit.

    Couverture de Transformation et guérison
    page(s) 48
  • Sujet et objet ne sont pas séparés

    Il convient de se pencher sur les expressions « observer le corps dans le corps », « observer les sentiments dans les sentiments », « observer l'esprit dans l'esprit » et « observer les objets de l'esprit dans les objets de l'esprit ». La clé de voûte de la « méditation-observation » est que le sujet et l'objet de l'observation ne sont pas considérés comme deux choses séparées.

    Couverture de La respiration essentielle
    page(s) 45-46
  • L'esprit et la respiration deviennent un

    Nous voyons que notre respiration a un effet sur notre esprit, et que notre esprit exerce une influence sur notre respiration. L'esprit et la respiration deviennent un. Nous réalisons aussi que la respiration est une composante du corps et que la conscience de la respiration est aussi la conscience du corps.

    Couverture de La respiration essentielle
    page(s) 38
  • L’instant présent

    Notre esprit est capable de vagabonder dans le temps, mais pas notre corps. Le corps, lui, est toujours dans le présent.

    Couverture de Trois minutes à méditer
    page(s) Chronique n°14
  • Le corps

    Souvent nous faisons un mauvais usage de notre corps. Nous nous en servons comme d'un outil qui doit nous obéir. Nous ne faisons attention à lui que lorsqu'il nous fait souffrir ou qu'il nous donne du plaisir. Puis nous le négligeons. Et nous privilégions encore et toujours la pensée sur les ressentis. En méditation, on apprend à utiliser son corps de manière plus respectueuse et intelligente, en commençant par se mettre à son écoute régulièrement.

    Couverture de Trois minutes à méditer
    page(s) Chronique n°8
  • Savourer

    Nous commettons souvent cette erreur : voir ou sentir les instants de bonheur ou de beauté, mais ne pas nous y rendre présents. Ce n'est pas la même chose de noter mentalement que le ciel est beau ou bien de tout arrêter pour savourer. Car pour savourer, il faut s'arrêter pour de vrai et inviter le corps au festin, à la merveille de l'instant présent. Ressentir alors avec tout son corps, tout son souffle, toute sa personne, ce que la vie nous offre.

    Couverture de Trois minutes à méditer
    page(s) Chronique n°3
  • La corporéité

    Pour Merleau-Ponty […] comme pour nous, la corporéité possède un double sens : elle désigne le corps à la fois comme structure vécue et comme contexte ou lieu des mécanismes cognitifs.

    Couverture de L'inscription corporelle de l'esprit
    page(s) 20
  • Le corps que j'ai versus le corps que je suis

    Les maîtres zen, comme Spinoza et quelques philosophes occidentaux, réfutent la dualité corps-esprit.

    Que dit Spinoza ? « Si nous opposons ce qu'on appelle le corps à ce qu'on appelle l'esprit, c'est parce que nous n'avons pas une connaissance suffisante du corps ! »

    Est-ce encore vrai à notre époque alors que le « savoir » sur le corps s'étend jusqu'à la génétique ? Spinoza n'envisage pas les savoirs mais la connaissance, par la personne elle-même, du fonctionnement de son propre corps.

    Grâce à son expérience des exercices qu'il a pratiqués au Japon,Graf Dürckheim est passé de la notion du corps que l'homme « a » à l'expérience du corps que l'homme « est ».

    Couverture de Comment peut-on être zen ?
    page(s) 21
  • La méditation est profondément incarnée

    La méditation n'est pas angélique et s'incarne profondément, à la différence d'une simple réflexion philosophique.

    À leur tour, les effets biologiques constituent une base convenable pour les changements psychiques et l'ouverture spirituelle, suivant une causalité complexe et circulaire, sur laquelle le Bouddha a toujours insisté et que l'Occident moderne redécouvre (Edgar Morin).

    Couverture de Méditation et psychothérapie
    page(s) 59
  • S’emprisonner

    Chaque fois que nous sommes la proie d'un désir, d'une émotion, d'une impulsion non examinée, d'une idée ou d'une opinion, par notre façon de réagir nous nous emprisonnons nous-mêmes instantanément, de manière tout à fait concrète – qu'il s'agisse d'une habitude de repli ou de distanciation, comme dans la dépression et la tristesse, ou d'une explosion, voire d'un « kidnapping » émotionnel quand nous tombons tête la première dans l'anxiété ou la colère. Ces épisodes sont toujours accompagnés d'une contraction dans l'esprit comme dans le corps.

    Couverture de Méditer
    page(s) 25
  • L'attachement au moi-moi-même-et-encore-moi

    C'est parce que nous sommes profondément attachés à notre corps, à notre esprit, à notre nom, que nous efforçons sans cesse d'écarter ce qui est déplaisant et de prolonger ce qui est agréable. Ce processus d'attachement conditionne l'apparition de la souffrance.

    Couverture de Le trésor du cœur des êtres éveillés
    page(s) 22
  • Corps & esprit

    Même si nous parlons du corps et de l'esprit, ce sont en fait les deux côtés d'une seule pièce.

    Couverture de Esprit zen esprit neuf
  • La porte du sacré

    [P]our que l'universel se déploie dans notre vie spirituelle, il doit être uni au personnel. Nous sommes des êtres humains, et la porte humaine qui mène au sacré est constituée de notre propre corps, de notre propre cœur et de notre propre esprit, du passé dont nous provenons et des relations et situations les plus intimes de notre existence. Si la compassion, la justice et la libération ne peuvent prendre vie en nous-mêmes, où donc le pourraient-elles ?

    Couverture de Périls et promesses de la vie spirituelle
    page(s) 25
  • Vivre dans ce précieux corps animal

    J'appris que, pour vivre une vie spirituelle, je devais être capable de l'incarner dans chacune de mes actions : dans ma manière de me tenir debout et de marcher, dans ma manière de respirer, dans l'attention que je portais à ma façon de manger. Je ne devais exclure aucune activité. Vivre dans ce précieux corps animal sur cette terre est un aspect de la vie spirituelle aussi important que tous les autres.

    Couverture de Périls et promesses de la vie spirituelle
    page(s) 22
  • Voir l'impermanence

    Pour Patanjali, seul l'homme qui a développé vivéka, la discrimination, peut percevoir cette douleur universelle conséquente à l'impermanence. L'homme ordinaire est trop impliqué, trop identifié au courant du devenir pour en prendre conscience. […]

    Dans notre société qui ne vit que pour le corps et sa perpétuation, l'impermanence est devenue de plus en plus cachée, inaccessible. […] Nous organisons notre vie comme si elle était définitivement stable et la mort est perçue comme un scandale absolu. Lorsque nous nous résignons à elle, c'est précisément de la résignation et non une acceptation pleine et entière.

    Couverture de Les sept clés de la méditation
    page(s) 37
  • C'est avec l'esprit que l'on pratique

    Les méthodes exposées dans les enseignements bouddhistes ne reposent pas principalement sur des actes externes de la parole, comme la récitation de prières et de mantras, ni sur des actes physiques comme les prosternations. En effet, c'est véritablement au moyen de l'esprit que les enseignements sont mis en pratique. Ceci rend le processus un peu plus difficile. Les écritures disent : « C'est pour cette raison que la tradition du Bouddha est subtile. »

    « Pourquoi ? » pourriez-vous demander. Parce qu'il est toujours possible de se conduire extérieurement comme un pratiquant spirituel tout en continuant à nourrir des pensées négatives indignes d'un vrai pratiquant.

    Couverture de La grande paix de l’esprit
    page(s) 49
  • Le corps et l'esprit

    Le corps et l'esprit, ce n'est ni la même chose, ni deux choses séparées : ce sont deux réalités différentes mais très étroitement connectées. Avoir conscience de ces connexions peut énormément nous apprendre. C’est cela, faire l'expérience de son corps ; ce n'est pas se dire rapidement et vaguement : « Oui, oui, j'ai un corps et c'est important d'en prendre soin. » Mais c'est, aussi souvent que possible, s'arrêter et éprouver ce qui se passe juste à cet instant en nous. Se connecter à lui. L'éprouver, le ressentir délibérément, subtilement, respectueusement. Et pas seulement lorsqu'il nous fait souffrir ou jouir.

    Apprendre à lire nos sensations, leur prêter attention : elles sont le tableau de bord qui témoigne de l'équilibre ou du déséquilibre de notre âme.

    Couverture de Méditer, jour après jour
    page(s) 46