bienveillance aimante

Extraits étiquetés avec : bienveillance aimante

  • Bienfaits de la générosité et de la bonté

    Votre comportement positif aura créé deux types de résultats immédiats. Le premier est intérieur. C'est la manière dont vous vous sentez. Comme vous avez été régulièrement généreux et bon, et avez réfléchi à vos actions généreuses et aimantes, votre esprit est paisible et heureux. Le second type est extérieur : on vous apprécie et on a de l'affection pour vous. Bien que ce soit certainement agréable, les résultats extérieurs sont moins importants que les premiers, car ils sont tributaires de la réaction d'autres personnes et, par conséquent, moins fiables.

    Couverture de Les huit marches vers le bonheur
    page(s) 53
  • Arroser les semences avec la respiration consciente

    Nous sommes conscients que nous avons la chance de pratiquer la méditation et qu'il n'y a pas de moment plus important que le moment présent. Nous installant calmement dans le moment présent, une immense joie apparaît. Celle-ci surgit aussi chaque fois que nous « touchons » en nous l'énergie de la Confiance, de la Compassion, de la Bonté, de l'Équanimité, de la Liberté… Les semences de ces sources d'énergie sont présentes dans les profondeurs de notre conscience. Il suffit de rentrer en contact avec elles et de les arroser avec la respiration consciente pour qu'elles s'épanouissent.

    Couverture de La respiration essentielle
    page(s) 40-41
  • Travailler avec son propre matériau non désiré et inacceptable

    C'est qu'on est devenu si sincère et si honnête envers celui ou celle qu'on est et ce qu'on fait, tout cela est si familier, qu'on commence à comprendre la condition humaine tout entière et qu'on peut répondre de façon appropriée à la situation.

    Le terrain de base de l'action compatissante, c'est l'importance de travailler avec plutôt que de se battre contre, ce que je veux dire par là c'est de travailler avec son propre matériau non désiré et inacceptable, afin que si le non désiré et l'inacceptable surgissent, on entre en relation avec tout ça, car on a appris à pratiquer la bienveillance envers soi-même. Il ne s'agit pas alors de condescendance. Cette approche non dualiste vient du cœur, puisqu'elle est basée sur notre parenté avec les uns et les autres. Nous savons quoi dire, parce que nous avons fait l'expérience de la fermeture, de l’isolement, de la colère, de la douleur, de la révolte et ainsi de suite et que nous avons établi un rapport avec tout cela en nous-mêmes.

    Il ne s'agit pas de résoudre un problème. C'est une approche plus ouverte et plus courageuse. On ne sait pas ce qui va arriver.

    Couverture de La voie commence là où vous êtes
    page(s) 145 (17 - L’action compatissante)
  • Le bonheur authentique

    Le bonheur authentique, sukha, est un état de plénitude durable qui se manifeste lorsque l'on s'est libéré de l'aveuglement mental et des émotions conflictuelles. C'est aussi la sagesse qui permet de percevoir le monde tel qu'il est, sans voiles ni déformations. C'est enfin la joie de cheminer vers la liberté intérieure et la bonté aimante qui rayonne vers les autres.

    Couverture d'Un voyage immobile
    page(s) Introduction
  • Nous avons tous le potentiel

    Chacun d'entre nous a le potentiel de dissiper les voiles de l'ignorance, de se débarrasser des toxines mentales qui provoquent le malheur, de trouver la paix intérieure et d'œuvrer au bien des êtres.

    Couverture d'Un voyage immobile
    page(s) Introduction
  • Le bonheur est déjà là

    L'idée essentielle sous-jacente à toute notre étude et à notre pratique c'est que le bonheur que nous cherchons est là, disponible à n'importe quel moment. Le bonheur que nous recherchons est notre droit de naissance. Pour le découvrir, nous devons être plus doux avec nous-mêmes, plus compatissants envers nous-mêmes et notre univers.

    Le bonheur que nous recherchons ne peut être trouvé en s'emparant des choses et en essayant de s'y cramponner. On ne peut pas le trouver à force de sérieux et de crispation, en voulant que les choses aillent dans la direction qui, selon nous, nous apportera le bonheur. Nous comprenons toujours de travers. L’essentiel c'est que le bonheur que nous recherchons est déjà là et que pour le trouver il vaut mieux se détendre et lâcher prise que se débattre.

    Couverture de La voie commence là où vous êtes
    page(s) 117 (13 - Enseignement pour la vie et pour la mort)
  • Bienveillance aimante pour soi et pour autrui

    En étant bon envers nous-mêmes, nous devenons bon envers les autres. En étant bon envers les autres – si cela se fait de manière adéquate, avec une compréhension adéquate – nous en bénéficions nous aussi.

    Couverture de La voie commence là où vous êtes
    page(s) 55 (6 - Commencez là où vous en êtes)
  • Racines du mal-être et du bien-être

    Le cœur et l'esprit des gens contiennent généralement une quantité égale de fleurs et de mauvaises herbes. Nous sommes nés avec les trois racines du mal : l'avidité, l'aversion et l'ignorance de la réalité ; et avec les trois racines du bien : la générosité, la gentillesse et la sagesse. N'est-il pas judicieux d'essayer de se libérer des trois racines qui engendrent tous les problèmes, toutes nos expériences et réactions douloureuses ?

    Couverture de Et s’il suffisait d’être présent…
    page(s) 55
  • Libérer aussi ceux qui nous ont blessé

    Avec la pratique, nous découvrons que cet enfant blessé n'est pas seulement nous, il peut représenter plusieurs générations. Notre mère a probablement souffert tout au long de sa vie. Notre père peut avoir souffert lui aussi. Peut-être nos parents n'étaient-ils pas capables de prendre soin de leur propre enfant intérieur ? Quand nous accueillons avec bienveillance notre enfant intérieur, nous accueillons donc aussi ceux des générations qui nous ont précédés. Cette pratique n'est pas une pratique pour nous seuls, mais pour d'innombrables générations d'ancêtres et de descendants.

    Ne sachant pas comment prendre soin de leur enfant blessé, nos ancêtres nous l'ont transmis. Notre pratique a pour but d'interrompre ce cycle d'ignorance. Si nous parvenons à guérir notre enfant intérieur, nous pourrons non seulement nous libérer nous-mêmes, mais nous libérerons aussi ceux qui nous ont blessé ou qui ont abusé de nous. Car ceux qui ont abusé de nous ont certainement été victimes d'abus auparavant.

    Couverture de Prendre soin de l’enfant intérieur
    page(s) 12-13
  • Je ne suis rien et je suis tout

    Comme l'a déclaré le grand maître indien Nisargadatta Maharaj : « La sagesse me dit que je ne suis rien, l'amour que je suis tout. Entre les deux, ma vie s'écoule. »

    « Je ne suis rien » ne signifie pas qu'il y a une terre désolée au fond de moi. Si nous ne sommes rien, la conscience nous conduit à un espace limpide et dégagé, dépourvu de centre et de périphérie, sans cloisonnements. Un espace où aucune barrière ne peut entraver l'expression sans limite de l'amour.

    Or, en n'étant rien de cette façon, nous sommes aussi, inévitablement, tout. Comprendre que l'on est « tout » ne veut pas dire s'autoglorifier, mais reconnaître sans le moindre doute que l'on n'est pas séparé du reste du monde.

    Ensemble, l'espace ouvert et dégagé du « rien » et l'interconnexion du « tout » nous éveillent à notre nature véritable.

    Couverture de L'amour qui guérit
    page(s) 38
  • Présence et de simplicité vivifient notre chemin

    À mesure que les qualités de présence et de simplicité imprègnent davantage notre vie, notre amour intime de la terre et de tous les êtres peut s'exprimer et vivifier notre chemin.

    Couverture de Périls et promesses de la vie spirituelle
    page(s) 29
  • Tout est dans l'intention

    Peu importe que notre acte semble vertueux à première vue ou qu'il ne cause aucun mal. Si l'intention sous-jacente est teintée d'ignorance, d'aversion, de colère, de haine, ou d'avidité et de désir (et cela englobe une grande partie de ce que nous faisons, pensons et disons), alors l'action est fondamentalement malsaine.

    À l'inverse, toute action motivée par l'opposé de ces trois racines, à savoir absence d'ignorance, l'absence d'aversion et l'absence d'avidité, c'est-à-dire le discernement, l'amour, la bonté, la générosité, et un sens de renonciation intérieure ou de détachement, sera saine. Non seulement les résultats de ces actes dans le futur seront bons, mais l'accomplissement de tels actes va aussi purifier notre esprit.

    Couverture de La vie quotidienne comme pratique méditative
    page(s) 54
  • L'amour bienveillant versus l'amour étroit

    L'amour bienveillant ne s'obtient pas par une négociation ou un échange. Le désir dit : « Je t'aimerai, je m'occuperai de toi, je t'offrirai ci ou ça tant que tu répondras à mes attentes et satisfera mes besoins. » Dans ce genre de marché, nos sentiments d'amour se restreignent aux personnes que l'on apprécie parce qu'elles nous donnent ce que l'on attend. On aime quelqu'un, puis il nous déçoit, et on ne l'aime plus. Cette forme d'amour limitée se fonde sur le désir et l'attachement.

    Couverture de L'amour qui guérit
    page(s) 84
  • La place du choix

    [La place du choix, c]'est la place neutre et bienveillante, à partir de laquelle on peut tout recevoir de ce qui se passe en soi, autant les craintes du personnage que les élans créateurs venus de l'individualité profonde. C'est un poste d'observation et de présence à soi. C'est là que l'on se souvient selon quels idéaux on veut vivre et que l'on comprend la nature des freins qui nous ralentissent. […]

    En réalité, [la place du choix est celle] du disciple de la vie, celui qui observe, qui évalue et qui tire des conclusions sans jugement et sans culpabilité. Pour cela, il s'agit de se donner le droit de mener une expérience avec soi, comme si vous étiez un laboratoire ou une œuvre à compléter. [La place du choix] est celle du laborantin, celle de l'artiste de la vie.

    Couverture de Le meilleur de soi
    page(s) 264