Le cristal de l'enfance prend sa source dans l'émerveillement.
Pour l'enfant, chaque instant s'ouvre neuf, clair, creusé de l'intérieur.
C'est l’espace originel paradisier…
Puis cet espace vertical de l'enfance fait place à l'horizontalité, à l'écoulement, au temps, aux bornes, aux limites, et avec les bornes et les limites, la mort apparaît.
D'un côté, l'instant toujours neuf de l'émerveillement, de l'autre l'habitude et la mort.